Pourquoi ?

Le Littoral dunkerquois, c’est déjà :
 13 sites Seveso seuil haut et 2 en projet
 1 centrale nucléaire, la troisième au monde en matière de puissance installée soit un concentré du risque industriel en secteur fortement urbanisé, comme il n’en existe que 3 ou 4 comparables en France. On a atteint un seuil à ne pas dépasser !

Pourquoi ?

Du fait notamment de la productivité atteinte, l’industrie lourde, généralement à risques, est de moins en moins génératrice d’emplois
 Arcelor-Dunkerque est passée en quelques décennies de 12.000 salariés à 4.000, tout en produisant davantage.

Pourquoi ?

Pour de simples et bonnes raisons économiques, il est devenu évident que s’ingénier à installer à côté des usines existantes à risques, d’autres usines à risques, ce n’est pas une solution, c’est un problème venant se surajouter aux problèmes existants.

Pourquoi ?

On le voit bien dans le cadre de l’élaboration des PPRT, les entreprises à risques, de par les aléas (dangers) qu’elles génèrent, sont dévoreuses d’espaces. Elles stérilisent leur environnement ou alors elles sont susceptibles d’engendrer des effets domino

Pourquoi ?

Sur le littoral, l’objectif est donc bien d’utiliser au mieux le capital foncier exceptionnel que constitue la zone industrialo-portuaire. C’est un patrimoine qu’il ne faut pas brader, qu’il est toujours possible de promouvoir à la condition de faire le choix de privilégier l’implantation d’industries vraiment durables, créatrices de beaucoup plus d’emplois que celles en place et qui pour la plupart en perdent d’année en année.

Dunkerque a besoin d’industrialisation réorientée.